|
| Accueil |
Créer un blog |
Accès membres |
Tous les blogs |
Meetic 3 jours gratuit |
Meetic Affinity 3 jours gratuit |
Rainbow's Lips |
Badoo |
[ Contacts/Adhésions/ Vie du mouvement ] [ Canton de Rouvroy - Méricourt - Drocourt + Bois Bernard (CACH) ] [ Canton d'Hénin Beaumont - Noyelles Godault ] [ Canton de Leforest - Evin Malmaison - Dourges - Courcelles lès Lens ] [ Canton de Montigny en Gohelle - Hénin Beaumont ouest ] [ Canton de Carvin Libercourt ] [ Canton de Courrières - Oignies ] [ Généralité ] [ TV/Radio/Vidéo/Net et autres médias ] [ TRIBUNE LIBRE ]
|
|
|
|
Toxic
21/10/2009 09:33
Toxic
Auteur : William Reymond
Editeur : Flammarion
Date de parution : 21/02/2007
Collection : En quête
ISBN : 2080687638
Présentation de l’éditeur
Dans un peu plus de dix ans, avec son triste cortège de cancers, insuffisances rénales, diabètes et crises cardiaques,
la France sera à l'image des USA : obèse. Le nombre de décès liés au surpoids dépassera ceux dus à l'alcool et au tabac. Et notre pays devra, à son tour, gérer le terrible paradoxe américain : malgré les progrès de la médecine, l'espérance de vie de la prochaine génération sera inférieure à la nôtre. Comment, en moins de trente ans, ce nouveau fléau a-t-il pu prendre une telle ampleur ? Le miroir américain est l'instrument idéal pour le comprendre et avancer vers la vérité. Or, contrairement aux mythes entretenus par la puissante industrie agroalimentaire, l'explication ne réside ni dans un changement radical des modes de consommation, ni dans une absence de volonté. La réalité est plus terrifiante : le danger est désormais au fond de nos assiettes. Et 'Toxic' le prouve, par de nombreuses révélations : l'irradiation systématique des aliments afin de les conserver plus longtemps en supermarché ; la véritable composition des frites de fast-food ; la viande créée en éprouvette dans les labos du futur ; le porc aux cellules humaines, ou comment l'homme est devenu cannibale sans le savoir...
| |
|
|
|
|
|
|
|
Munition du Famas, un scandale gentiment enterré
21/10/2009 07:15
Le numéro 728 de la revue confidentielle TTU officialise un scandale qui était un des non-dits de l’armée française depuis de nombreuses années, la mauvaise qualité de la munition 5.56 destinée au fusil d’assaut de l’armée française. TTU précise avec une diplomatie qui l’honore que c’est l’étui en laiton fabriquée par une société israélienne puis émiratie qui est à l’origine des incidents de tir et aussi (ce qui est aussi grave) de la limite de précision dans la portée du tir de cette munition. Concrètement parlant, la munition défaillante réduit considérablement la précision du tir de cette arme (la balle peut devenir imprécise au-delà de 30 mètres, ce qui peut s’avérer catastrophique en situation de combat. Quelle est la raison de ce fiasco technique ?
TTU nous apprend que c’est la fermeture de l’atelier GIAT du Mans dédié à la fabrication du Famas (étui en acier de qualité qui rendait la munition française particulièrement fiable pour le FAMAS). Quels enseignements tirer de ce scandale largement étouffé pour l’instant : il est important de savoir et de faire savoir quel est le politique qui a décidé la fermeture de l’usine GIAT et délocalisation de la fabrication de la munition du Famas à l’étranger ? Cet homme doit assumer publiquement l’irresponsabilité de son acte puisque sa décision oblige aujourd’hui l’armée française à jongler avec un stock fiable de munitions ancienne formule (c’est-à-dire d’origine française) et le stock de munitions d’origine israélienne et émiratie qui sont compatibles avec les armes OTAN mais pas avec le FAMAS. On se souvient que c’est le ministre socialiste Alain Richard qui avait entamé la politique de réforme pour faire des économies et rentabiliser les coûts en matière d’équipement militaire.
Cette politique a abouti a ce résultat très concret à savoir que l’arme individuelle du soldat français n’est plus opérationnelle si on utilise une munition fabriquée selon d’autres normes techniques à l’étranger. Nos soldats sont donc en danger à cause de l’irresponsabilité d’une chaîne de décision qui part du politique mais qui ne s’arrête pas là. En effet, il est incompréhensible que des responsables techniques à un niveau intermédiaire n’aient pas souligné ce risque de défaillance. Sur cette question, les médias français vont démontrer s’ils sont à la hauteur de leur réputation. On pense au magazine Paris Match qui a déboursé en août 2008 plusieurs dizaines de milliers d’euros pour montrer des talibans s’exhiber avec des vêtements et des armes récupérées sur des soldats français tombés dans une embuscade. Il sera intéressant de voir si un journaliste d’un grand média osera s’intéresser à l’affaire de la munition du Famas.
En l’occurrence dans ce dossier, il ne s’agit pas d’une chasse au scoop mais d’un débat constructif sur la pertinence de la décision politique et sur la protection de la vie de nos soldats en opération.
Source : Gaullisme.fr
| |
|
|
|
|
|
|
|
Affaire Dalongeville, toujours plus...
20/10/2009 21:37
Les juges du tribunal administratif de Lille ont annulé l’arrêté ministériel qui suspendait Gérard Dalongeville de ses fonctions de Maire pour une période d’un mois. Cette décision aurait été invalidée sur la forme. En effet, le préfet du Pas de Calais aurait oublié de motiver cet arrêté. Une faille que l’avocat de l’ancien édile a eu tôt fait de remarquer tant il est passé expert de la forme plus que du fond comme tous les hommes lisses. Toutefois, cela ne changera rien dans l’immédiat car il y a encore la révocation par décret présidentiel, que notre brillant avocat espère voir annulée par le Conseil d’Etat. Preuve s’il en est encore aujourd’hui de l’immoralité qui gangrène de plus en plus la profession d'avocat, cette caste drapée de noir.
PW
Commentaire de cimares (20/10/2009 22:52) :
je ne partage pas votre reflexion.
La caractéristique d'une civilisation consiste d'abord à
respecter les règles qui la régissent.
Le tribunal administratif vérifie toujours en premier lieu si ces règles
sont respectées et ne va pas plus loin si elles ne l'ont pas été.
C'est ainsi qu'il n'a pas besoin de juger sur le fond
puisque la forme était mauvaise.
Je sais que nous appartenons à une région où les procédures passent pour
une perte de temps: mais c'est en respectant les procédures que
l'on permet à un agent de se défendre et
et à éviter l'arbitraire: il devrait en être ainsi dans toutes nos
collectivités à l'égard des agents territoriaux...
Dans l'affaire Dallongeville, l'erreur revient au Préfet qui doit
motiver ses décisions.
Curieusement, le tribunal administratif n'est pas exempt de critique:
pour avoir moi-même vécu un défaut de pocédure tout à fait semblable:
mesure de perte d'emploi fonctionnel non motivé,le tribunal
administratif a estimé, contrairement à l'analyse de mon avocat
-analyse qui s'appuyait sur la juriprudence du conseil d'état-
que la décision était justifiée par le seul fait que l'autorité ne
m'accordait plus la confiance pour occuper le poste...
Dans le cas Dalongeville,le juge a respecté un principe fondamental: la
sanction doit être motivée... et comme l'arrêté ne mentionnait pas de
motif, eh bien,la sanction n'a pas lieu d'être.
C'est aussi simple que cela! Je crois que, dans l'espèce, il faut
féliciter l'avocat qui a bien senti et s'est bien servi des
faiblesses juridiques de ce département du Pas de Calais.
Et le préfet qui est un homme d'action n'a pas du trouver écho
auprès de ses popres services et ne s'est guère préocuppé du respect
des règles fondamentales.
L'ancien maire bénéficie ainsi de la protection juridique liée au
respect des procédures.
C'est choquant quant on connait ses turpitudes ,
mais c'est plutot rassurant pour la démocratie.
Alain Alpern avait, en son temps, attiré l'attention sur le respect
des procedures, d'autant que le préfêt n'aurait eu aucune
difficulté à motiver son arrêté.
|
Commentaire de Olivier (21/10/2009 05:56) :
Dans le secteur privé, Monsieur le Préfet, on nomme ceci une faute grave
qui induit un entretien au préalable avant l'envoi d'un courrier
d'avertissement ou d'une mise à pied.
Pour vous, ce sera sans doute la mutation et un beau placard doré....
Cependant, pour les héninois et héninoises, le risque d'une élection
se profile et donc une image encore une nouvelle fois écornée que vont
relayer tous les médias régionaux et nationaux.
Consternant !
La Responsabilité de l'Etat dans les malheurs qui accablent la ville
d'hénin beaumont est donc démontrée de par la longueur de ses
interventions depuis 2003 (CRC,Brigade Financière) mais aussi par les
nombreuses erreurs de ses administrés.
Il est donc urgent de mettre le gouvernement face à ses obligations ;
j'invite la nouvelle majorité à prendre l'initiative de cette
démarche afin de réclamer l'intervention et la participation de
l'Etat dans la gestion du déficit de notre ville.
|
Commentaire de DLR1 CH (21/10/2009 07:20) :
Cher Cimarès, je savais par avance que vous n'auriez pas été
d'accord avec mon propos puisqu'il s'agit ici tout
d'abbord d'une réaction épidermique. Il va de soit que je partage
en partie vos propos du moins sur la théorie, car dans les faits, il
s'avère que ce sont toujours les même qui bénificie de ce système
judiciaire... Je ne fais ici aucun populisme, c'est juste une remarque
comme l'avait déjà remarqué jadis ce glorieux fils de la littérature
française lorsqu'il dit ceci "Selon que vous soyez puissant ou
misèrable...". C'est la que réside le scandale !
|
Commentaire de Anthéa (21/10/2009 09:43) :
Vous n'avez pas commenté l'interview de Caroline Troye sur VDN du
mardi. Etes vous d'accord avec ses propos ?
|
Commentaire de DLR (CH) (21/10/2009 12:08) :
Chère Anthéa, c'est qu'il n'y avait pas lieu à discerter.
|
Commentaire de choeur d\'Héninoise (21/10/2009 18:34) :
http://heninelectionsmunicipales2009.vip-blog.com
un témoignage poignant qui plus est d'une femme leader des ex
metaleurop avec Farid
|
Commentaire de DLR1 (CH) (22/10/2009 08:39) :
Cher choeur de fondeuse, je vous rappelle que nous avons sur ce blog une
tribune libre et que vous pouvez vous y exprimer. Je ne manquerez pas
d'y transcrire vos états d'âmes dans la limite du règlement fixé
bien entendu !
|
| |
|
|
|
|
|
|
|
A bonne école...
20/10/2009 15:18
Auteur : Jean Paul brighelli, avec une préface de Laurent Lafforgue
Poche - Broché
Paru le : 06/09/2007
Editeur : Gallimard
Collection : Folio documents
ISBN : 978-2-07-034286-0
EAN : 9782070342860
Mot de l’éditeur
L'école se meurt, l'école est morte : enseignants ou parents, pédagogues et politiques, tous sont d'accord sur le constat. Le Savoir est lettre morte. La baisse de niveau généralisée a accentué l'inégalité des chances. L'ascenseur social est en panne. Les élèves eux-mêmes, peu flattés d'être désormais des " apprenants ", et de décrocher un bac dévalué, souhaitent que l'on sonne la fin de la récréation. A bonne école... est un livre de propositions. Son objectif central est de réconcilier le diplôme avec la compétence, et avec la connaissance, afin que chacun aille au plus haut de ses capacités.Programmes et formations doivent désormais viser l'excellence, parce qu'il faut de nouveaux maîtres pour de nouvelles ambitions.
Avis
Après la polémique soulevé par son précédent ouvrage, l’auteur nous livre ses réflexions concernant le système scolaire et de formation professionnelle en France. Il s’est pour cela inspiré des commentaires que lui ont suggéré beaucoup de ses lecteurs. Les solutions proposées relèvent de la plus simple évidence. Enfin, un essai qui fustige la pseudo – pédagogie pour en revenir aux fondements. Avec lucidité, l'auteur dénonce les non-volontés politiques, les dérives doctrinales des réformateurs, dont les enseignants, comme leurs élèves, font les frais. Il rappelle pertinemment que l'école n'est pas une question politicienne, mais citoyenne. Il est plus que temps de cultiver les jeunes esprits !
PW
| |
|
|
|
|
|
|
|
Bonus : le grand retour...
20/10/2009 14:42
Le scandale des bonus 2008 et 2009, Le grand bluff du contrôle des bonus
En France, la nouvelle est passée un peu inaperçu du fait des polémiques récentes. Pourtant, elle mérite d’être soulignée tant elle est en décalage avec les grands discours des dirigeants du G20 : les bonus des banques vont battre des records en 2009.
Un double scandale
« Nouveau Bretton Woods », « moralisation du capitalisme », « plus jamais ça » : il semblait qu’après l’effondrement du système financier de l’automne 2008, nous étions rentrés dans un autre monde. Pourtant, cet article du Monde a le mérite de montrer que les choses n’ont pas changé. Aux Etats-Unis, en 2009, le montant des bonus pour les traders devrait battre le record de 2007. Ce ne sont pas moins de 140 milliards de dollars qui devraient être distribués par les banques !
L’information qu’a révélée le Wall Street Journal est doublement choquante. Tout d’abord, on apprend que les bonus 2009 dépassent de 20% ceux de 2008, ce qui les amène au-dessus de ceux de 2007. Mine de rien, cela révèle que les bonus 2008 des banques étasuniennes ont donc mathématiquement baissé d’un peu moins de 20% en 2008 par rapport à 2007. Pourtant, vu le désastre financier de l’année passée, il aurait été plus légitime qu’il n’y ait pas eu de bonus en 2008.
Cela montre la perversion d’un système, qui arrive à préserver des bonus injustifiables, quelques soient les circonstances. Car comment justifier le versement d’un moindre cent de bonus au titre de l’année 2008 alors que les banques ont perdu des milliards et n’ont du leur survie qu’à l’intervention massive de l’Etat ? Et comment justifier que dès 2009, les banquiers gagnent plus que jamais. Bien sûr, la bourse a beaucoup monté mais on se demande si les banques n’ont finalement pas intérêt à un krach…
Un système qu’il faut détruire
La baisse beaucoup trop légère des bonus en 2008 et leur niveau record en 2009 montre que le système actuel n’est pas acceptable. Non seulement le système financier a plongé l’économie réelle dans la pire crise depuis 80 ans, doublant le niveau de chômage outre-Atlantique et faisant perdre à des millions de personnes leur maison, mais surtout, il organise l’irresponsabilité des banques puisque l’Etat vient les sauver en cas de difficulté et que les rémunérations de leurs dirigeants sont à peine écornées.
Le fait que les autorités publiques aient laissé payer (début 2009) des bonus 2008 aussi élevés et qu’elles n’interviennent pas vraiment pour réguler les bonus 2009 est un scandale sans nom. Devant le sauvetage des banques par les Etats, seule une taxation à 90% des bonus 2008 et 2009 serait acceptable. Après tout, les banques ont plongé la collectivité dans une crise violente, dont les conséquences se feront ressentir longtemps, notamment à cause des dettes contractées.
Tirant les leçons de la Grande Dépression des années 30, la collectivité a accepté de sauver le système bancaire pour se sauver elle-même. Mais il est inacceptable que les banquiers puissent tirer de tels profits de leur activité qui n’a engendré que des catastrophes ces dernières années. Les Etats devraient saisir les bonus donnés au titre de 2008 et 2009 car rien ne peut justifier aujourd’hui leur versement. Malheureusement, personne, y compris à gauche, ne le propose.
Les fanfaronnades des dirigeants du G20 n’ont pas impressionné grand monde. Malgré la crise, le système reste toujours aussi fou puisqu’il permet aux banquiers de se verser des bonus faramineux au titre de 2008 et 2009 sans que les Etats ne réagissent.
Laurent Pinsolle
| |
|
|
|
|